point de vue..
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Tu comprends, coco, « vu le contexte », ça n’est pas très raisonnable. Pas bien responsable. Certes, la liberté d’expression est un droit fondamental, et je me fais fort d’y rappeler, sur cette antenne, mon attachement, absolu ; mais faudrait voir à faire gaffe. A bien les distinguer. Les limites.
D’autant, « vu le contexte »...
D’autant, « vu le contexte »...
Et mes fesses, hypocrite, sans-couilles, cul-béni, tu les aimes, mes fesses ? Non mais ! C’est quoi, c’est qui, ces Jean-Foutre ! Voyez-les, ces péteux, caguer dans leur froc ! Anonner, perroquets, piètres marionnettes : « vu le contexte … ». Mais on l’emmerde, le contexte ! Et copieux !
Et je dirais même mieux : le contexte, tu t’en démerdes. Après tout, c’est bien toi, le politique, de tout bord, qui depuis toujours, à desseins, entretient la confusion dans les esprits étroits, mesquins, de tes infortunés citoyens. Toi, et les médias. Après ça, tu pourras, à ta guise, me traiter de je-ne-sais-quoi, de populiste je présume, rien à foutre ! Je ne suis pas populiste. Du moins, pas autant que tu ne l’es...
... Est-ce moi, ou toi, qui confond islamiste et djihadiste ? Est-ce moi, ou le média, qui met dans le même sac, islamiste et terroriste ? Putain de bordel de vous !
Un islamiste n’est rien d’autre, au sens littéral, qu’un "fidèle". C’est pas ma tasse de thé, ni celle-ci, ni celle des cathos, des juifs et consorts, mais j’entends qu’on appelât un chat, un chat. Point barre.
... Est-ce moi, ou toi, qui confond islamiste et djihadiste ? Est-ce moi, ou le média, qui met dans le même sac, islamiste et terroriste ? Putain de bordel de vous !
Un islamiste n’est rien d’autre, au sens littéral, qu’un "fidèle". C’est pas ma tasse de thé, ni celle-ci, ni celle des cathos, des juifs et consorts, mais j’entends qu’on appelât un chat, un chat. Point barre.
Toujours est-il, et c’est bien malheureux, qu’il est trop tard. Mal, le mal est fait. Et vous pourrez geindre, invoquer votre foutu contexte, le boxon, le grand merdier, c’est vous qui en êtes, pour partie, responsables. Le pouvoir politique et celui dit médiatique.
A force de raccourcis, d’approximations, de unes merdiques et j’en passe.
L’islam, c’est votre came. Le machin qu’on agite. Mais le musulman, calme et paisible, soit l’immense majorité des musulmans, vous n’en avez cure. Jamais, vous ne l’avez respecté. Considéré. Ni même approché. Vous êtes, indécrottables, dans le cliché ; et plus il est éculé, plus il vous sied. Plus il vous sert.
A force de raccourcis, d’approximations, de unes merdiques et j’en passe.
L’islam, c’est votre came. Le machin qu’on agite. Mais le musulman, calme et paisible, soit l’immense majorité des musulmans, vous n’en avez cure. Jamais, vous ne l’avez respecté. Considéré. Ni même approché. Vous êtes, indécrottables, dans le cliché ; et plus il est éculé, plus il vous sied. Plus il vous sert.
Or donc, « vu le contexte », tu comprends, l’aurait pas fallu les publier, ces deux malheureux dessins. C’est ajouter de l’huile. Sur le feu. La liberté d’expression, d’accord, mais ... Mais QUOI ?
Y’a pas de « mais », après le mot « liberté ». Jamais ! Et c’est pas négociable.
Le contexte on s’en balance. On ne va pas baisser d’un ton, ou d’une caricature, parce qu’une grosse poignée d’imbéciles, pour ne pas dire de cons finis, menaceraient de faire péter telle ambassade, ou brûler tel drapeau. Parce que, si tu baisses d’un ton, d’une caricature, tu leur donnes plus de force, encore. Et peu importe que le dessin fût de mauvais goût, comme on dit dans les salons, ou pas très bon, on s’en tape. Cet hebdo, Charlie, fait, depuis lurette, dans la satire. Et toi, tu fais quoi ? Dans ton froc ? Comme jadis, lemunichois. T’as pas honte ? Dis.
Y’a pas de « mais », après le mot « liberté ». Jamais ! Et c’est pas négociable.
Le contexte on s’en balance. On ne va pas baisser d’un ton, ou d’une caricature, parce qu’une grosse poignée d’imbéciles, pour ne pas dire de cons finis, menaceraient de faire péter telle ambassade, ou brûler tel drapeau. Parce que, si tu baisses d’un ton, d’une caricature, tu leur donnes plus de force, encore. Et peu importe que le dessin fût de mauvais goût, comme on dit dans les salons, ou pas très bon, on s’en tape. Cet hebdo, Charlie, fait, depuis lurette, dans la satire. Et toi, tu fais quoi ? Dans ton froc ? Comme jadis, lemunichois. T’as pas honte ? Dis.
Oui, ça fait des décennies, quand on englobe Hara-Kiri, que ce canard vous emmerde, comme il emmerde toutes les religions, et c’est tant mieux. Et aux gros lourdauds qui viennent nous apprendre, fiérots comme Artaban, que tout ça, c’est QUE pour vendre plus de numéros, je réponds :
sans blagues ? T’as trouvé ça, tout seul ? Ben, mon con, tu me la copieras.
Un magazine, à ton avis, ça tourne comment ? Une boutique, ça reste une boutique. Le but est le même : vendre. Et alors ? Où est le problème ? Y’aurait-y un truc qui te chatouille, citoyen ? Ben dans ce cas, tu descends dans la rue, avec tes banderoles, tes fanions, ton mégaphone, et tu fais ta révolution ! Pour changer le système… Non ?... T’as pas le temps ? Trop d’enfants, trop de traites à payer, un emploi à sauver ? Ben qu’est-ce que tu viens te plaindre, alors ? T’es pas musulman, de surcroît ? Et jusqu’à présent, il ne me semble pas que tu te sois montré bien solidaire avec les petites misères quotidiennes que pouvait se fader cette communauté ? Alors qu’est-ce qui te prend, d’un coup, de dire, répétant bêtement ce que bonnit le politique et le médiatique, que « vu le contexte », tout de même, ils auraient pu, les gens de Charlie, s’abstenir…
... Ah ! C’est à croire que tu ne mesures pas bien la chance, immense, que tu as de vivre en France. Mais peut-être que, j’y pense d’un coup, comme la Le Pen, t’y préférerais une dictature laïque. Va savoir … C’est vrai que les Irakiens, sous Saddam, ils vivaient très bien. Pas un mot plus haut que l’autre. Une seule vérité. Une seule presse. Une seule pensée. C’est chouette ! On n’a pas à s’emmerder. Tout est balisé. Juste, faut pas s’amuser à sortir de ce cadre, pour le moins étroit. Sinon, tu finis ta vie – et encore, si tu la finis ! – en une geôle qui ferait passer nos prisons françaises pour des hôtels de luxe. Mais je (te) concède que la Le Pen est d’une extrême cohérence. La dictature laïque, c’est quoi ? Sinon, avant tout, une dictature ! Et ça, mon coco, c’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd-muet.
sans blagues ? T’as trouvé ça, tout seul ? Ben, mon con, tu me la copieras.
Un magazine, à ton avis, ça tourne comment ? Une boutique, ça reste une boutique. Le but est le même : vendre. Et alors ? Où est le problème ? Y’aurait-y un truc qui te chatouille, citoyen ? Ben dans ce cas, tu descends dans la rue, avec tes banderoles, tes fanions, ton mégaphone, et tu fais ta révolution ! Pour changer le système… Non ?... T’as pas le temps ? Trop d’enfants, trop de traites à payer, un emploi à sauver ? Ben qu’est-ce que tu viens te plaindre, alors ? T’es pas musulman, de surcroît ? Et jusqu’à présent, il ne me semble pas que tu te sois montré bien solidaire avec les petites misères quotidiennes que pouvait se fader cette communauté ? Alors qu’est-ce qui te prend, d’un coup, de dire, répétant bêtement ce que bonnit le politique et le médiatique, que « vu le contexte », tout de même, ils auraient pu, les gens de Charlie, s’abstenir…
... Ah ! C’est à croire que tu ne mesures pas bien la chance, immense, que tu as de vivre en France. Mais peut-être que, j’y pense d’un coup, comme la Le Pen, t’y préférerais une dictature laïque. Va savoir … C’est vrai que les Irakiens, sous Saddam, ils vivaient très bien. Pas un mot plus haut que l’autre. Une seule vérité. Une seule presse. Une seule pensée. C’est chouette ! On n’a pas à s’emmerder. Tout est balisé. Juste, faut pas s’amuser à sortir de ce cadre, pour le moins étroit. Sinon, tu finis ta vie – et encore, si tu la finis ! – en une geôle qui ferait passer nos prisons françaises pour des hôtels de luxe. Mais je (te) concède que la Le Pen est d’une extrême cohérence. La dictature laïque, c’est quoi ? Sinon, avant tout, une dictature ! Et ça, mon coco, c’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd-muet.
Il n’y a pas de limite à la liberté, fût-elle d’expression. Contexte ou pas contexte. Et d’ailleurs, quelcontexte ? Puisque toujours, il sera pourri. Puisque vous l’avez pourri. Et que vous l’entretenez. Alors, à d’autres, le contexte. Démerdez-vous, avec. C’est d’ailleurs, votre boulot. Le dernier qui vous reste. Puisque l’économique, c’est plus vous. Je cause des politiques.
Pour le reste, le troupeau récitant, y’a pas de liberté de réfléchir qui viendrait se substituer à la liberté d’expression. Ça ne veut rien dire. C’est du taboulé. Du péteux qui se retranche derrière. Qui jamais, ne prend position, claire et nettement, quand ça barde. Quand c’est aigu. Ah là, y’a plus personne. Que de la bite molle. Alors qu’il faudrait des couilles. Et des "ça comme".
On ne transige pas, compris ? avec la liberté d’expression. On assume. Et on la défend. D’où qu’elle vienne. C’est-à-dire, même si elle ne nous va pas. Même si elle nous dérangerait. Car, cette liberté-là, c’est notre force, c’est notre chance. C’est, à peu près, tout ce qu’il nous reste. Alors, basta !
Pour le reste, le troupeau récitant, y’a pas de liberté de réfléchir qui viendrait se substituer à la liberté d’expression. Ça ne veut rien dire. C’est du taboulé. Du péteux qui se retranche derrière. Qui jamais, ne prend position, claire et nettement, quand ça barde. Quand c’est aigu. Ah là, y’a plus personne. Que de la bite molle. Alors qu’il faudrait des couilles. Et des "ça comme".
On ne transige pas, compris ? avec la liberté d’expression. On assume. Et on la défend. D’où qu’elle vienne. C’est-à-dire, même si elle ne nous va pas. Même si elle nous dérangerait. Car, cette liberté-là, c’est notre force, c’est notre chance. C’est, à peu près, tout ce qu’il nous reste. Alors, basta !
Parce que, si on se laisse aller, comme ça, alors demain, allez savoir, j'dis ça, j'dis rien, mais « vu le contexte », on pourrait bien entendre, et venant de la gauche, de ses sympathisants, ou de blogueurs "de gauche" ne souffrant pas la moindre contradiction, ni la plus petite remise en question, qu’accorder le droit vote aux étrangers aux élections municipales, c’est peut-être pas si urgent que ça. Qu’il conviendrait d’attendre. « Vu le contexte »...
... Eh bien, non ! Suivant le même principe, on ne baisse pas d’un ton, ou d’un engagement. On tient. Quel que soit le contexte. On l’emmerde, « le contexte ». Tant on sait qu’un contexte chasse l’autre. C’est sans fin. C’est la promesse de remettre toujours et encore, à demain. Et ce demain-là, nous le savons, jamais ne vient.
... Eh bien, non ! Suivant le même principe, on ne baisse pas d’un ton, ou d’un engagement. On tient. Quel que soit le contexte. On l’emmerde, « le contexte ». Tant on sait qu’un contexte chasse l’autre. C’est sans fin. C’est la promesse de remettre toujours et encore, à demain. Et ce demain-là, nous le savons, jamais ne vient.
« Le contexte » c’est un truc de faibles, de pétochards, de fais-dans-le-froc. De munichois. Et, comme lecontexte, j’emmerde, le munichois.
Mais qu’à cela ne tienne, sur le droit de vote des étrangers aux municipales, l’article est en ligne :
ICI.
ICI.
Bonne chance !
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