Que les peuples ne se ravisent pas, la situation est presque désespérée, mais pas intégralement. Nous trouverons en nous les ressources nécessaires à inverser une situation, cadencée par un aréopage de timocrates, dont l’objectif est l’assujettissement des peuples et le triomphe d’une finance casino niant le progrès émancipateur.
Nombreux, sont les hommes et les femmes à travers la planète, enchâssés dans ce malestrom mensonger, délivré par des dirigeants politiques simples serviteurs des oligarques de la finance internationale, supportés par un appareil médiatique à leur dévotion.
La finance internationale, ce fameux marché, a une physionomie que l’on peut discerner à travers de multiples associations herméneutes et dont les fondements sont strictement politiques, dès lors que leur objectif, est la destruction des institutions démocratiques, en recourant à l’utilisation des leviers médiatiques, politiques et financiers, puissamment structurés .
Les leviers financiers
Inter-Alpha
Est une association d’établissements financiers transnationaux créée en 1971, rassemblant les établissements suivants :
AIB Group Irlande
Banco Espírito Santo Portugal
Commerzbank, Allemagne
ING Bank Hollande
Intesa Sanpaolo Italie
KBC Bank Belgique
Nordea Finlando - Suèdois
National Bank of Greece Grèce
The Royal Bank of Scotland Royaume Uni
Banco Santander Espagne
Société Générale France
Inter-Alpha, en relation avec la place financière de Londres, fut édifiée sous l’égide de NM Rothschild & Sons, établissement financier dédié à l’investissement, depuis 1811 et incrusté à Londres depuis sa fondation.
La principale personnalité de ce cénacle est lord Jacob Rothschild lequel en 1983 déclarait que l’objectif d’ Inter-Alpha était« La formation de deux pôles institutionnels transmondiaux l’un consacré aux services financiers et l’autre aux établissements financiers de négoce international dont la convergence permettrait la création d’un monopole financier planétaire ».
A la même époque Ronald Reagan et Margareth Thatcher gouvernent les États-Unis et la Grande-Bretagne et sont les premiers gouvernants à instaurer la dérégulation, laquelle se traduira par la désagrégation des services publics au profit des entreprises privées. Cette politique fut insufflée et soutenue par Inter-Alpha. L’ensemble de ces établissements financiers formant Inter Alpha, ont par une accumulation gigantesque de profits décidé de s’accaparer le reste du monde et en particulier le continent européen . À leur instigation, mais en raison de masses monétaires insuffisantes ne leur permettant pas d’étendre leur domination intégrale, il fut décidé de générer un marché financier adapté à leur avidité. C’est ainsi que naquirent les fonds de pensions, les fonds de capital-investissement et les LBO, propices à induire d’énormes liquidités sur le court terme.
BILDERBERG
Dénommé « la conférence de Bilderberg » ou « le club de Bilderberg »,naquit en 1954 à l’hôtel Bilderberg, situé en Hollande où se retrouvèrent les participants fondateurs : le prince bernhard, le prince Philip, le représentant de Lehman Brother institution financière américaine depuis lors en faillite en 2007, David Rockefeller et Joseph Lunns Secrétaire de l’Otan à cette époque. Chaque année, il est admit que la conférence de Bilderberg tienne ses assises en présence des représentants de la sphère économique, financière et politique internationale. En ces occasions le personnel politique hexagonal, de Georges Pompidou à Jean-François Copé en passant par Guy Mollet, Dominique Strauss Kahn, Lionel Jospin , Michel Rocard , Manuel Valls, Hubert Védrine, VGE, Christine Lagarde,Alexandre Bompard (PDG d’Europe 1, 2009), Denis Olivennes (Directeur de publication Le Nouvel Observateur, 2009), Nicolas Baverez (chroniqueur pour Le Monde, et éditorialiste pour Le Point et Les Echos, 2008 et 2009) est présent parmi les personnalités conviées. Il est a noté que la philosophie développée par la conférence de Bilderberg, revêt des accents totalitaires tout en se parant des vertus de la bienséance. L’objectif déployé est d’après l’un de ses membres fondateurs, Georges W Ball (1909-1994), l’un des présidents de feu Lehman Brother, la transformation du monde en une vaste entreprise, se substituant « aux structures politiques archaïques des États-Nations". Certains de nos gouvernants actuels et passés n’ont pas, par leur politique destructurante, démenti les préceptes formulés par George W Ball et consorts.
EFR - European Financial Services Round Table
Autre nébuleuse, créée en 2001, « la table ronde des principaux établissements financiers et des compagnies de garanties européennes » dirigée actuellement par Georges Pébereau, Président du CA de BNP Parisbas. Le premier dirigeant fut Peyr Gyllenhammar de nationalité suédoise, DG de Volvo, éminence privilégiée de David Rockefeller, vice président de NM Rothschild Europe depuis 2003 ainsi que du fond de pension Rothschild. En 2005 Peyr Gyllenhammar et Jean-Pierre Voltron sujet belge et vice président de Rothschild ABN-AMRO, filiale de Rothschild NM et City Group, divulguaient leur programme dans lequel ils dévoilaient les principes d’action de cette organisation, sous le titre « sur le modèle du surveillant principal » (NDTR). En effet les rédacteurs de ce document, émettent le principe de la co-gestion avec l’institution européenne et de son évolution vers une reconnaissance de l’EFR comme « superviseur principal » de toutes les transactions financières et de négoces, sur le continent européen.
En résumé l’EFR est disposée à devenir l’initiateur, le régulateur et évidemment le bénéficiaire d’un tel processus et on supposera, qu’elle escompte la dissolution des institutions européennes à son profit.
Cette organisation européenne, dispose d’un alter ego Outre- Atlantique dénommée US Financial Services Round Table, dirigée par James Dimon Pdg de JP Morgan Chase Co (ex Rockefeller Bank) et Richard Kovacevitch dirigeant de Puits Fargo et siègeant au CA de Cisco System, spécialisé dans les réseaux informatiques, de carghill (agro-alimentaire) et de Citybank
Assicurazioni Generali Italie
Nordea Finlando-Suédois
ING Group Hollande
Royal Bank of Scotland Grande-Bretagne
ABN AMRO Hollande acquise depuis par un consortium composé de RBS, FORTIS, SANTANDER
Crédit Agricole France
Deutsche Bank Allemagne
BNP Paribas France
UBS AG Confédération Helvétique
Credit Suisse Confédération Helvétique
Aviva Franco-Anglo-Américain
Allianz Allemagne
Zurich Financial Services Confédération Helvétique
Munich Re Allemagne
AXA France
Banco Bilbao Vizcaya Argentaria Espagne
Fortis Belgique
AEGON Hollande
UniCredit Italie
ERT -European Round Table of Industrialists
Cet organisme informel, a été fondé par Peyr Gyllenhammar dont le responsable actuel est Jorma Ollila Pdg de Nokia et Royal Dutch Shell, il est aussi membre de Bilderberg et réputé proche de Rothschild NM. Cette entité, rassemble 45 dirigeants et présidents des plus importantes multinationales européennes. Ils tiennent session 2 fois l’an et leurs intentions sont d’influencer les dispositions gouvernementales, en matière d’investissement à destination de la sphère privée au détriment du domaine public.
LA TRILATÉRALE
Organisation fondée par David Rockefeller en 1973, rassemblant les représentants de l’Europe des États-Unis et de l’Asie, où se côtoient des responsables politiques et économiques, parmi les plus influents Henry Kissinger, Zibgniew Brzezinski, Bill Clinton, Jimmy Carter, Madeleine Albright, Georges j Tenet. D’entre les personnalités françaises on distingue Raymond Barre, Roland Dumas, Jacques Delors, Alain Poher, Jacques Chirac, invitées en plusieurs circonstances , Elizabeth Guigou (IEP Aix + ENA) a succédé à Laurent Fabius , Jean-François Copé (ENA), Anne Lauvergeon (Normale sup + ingé Mines, Pdg de AREVA), Bertrand Collomb ( Lafarge (X mines)), Jean-louis Bourlanges (IEP Paris + ENA) a été adoubé en remplacement de François Bayrou , Jean-Louis Bruguières (Ecole Normale de la magistrature), Edmond Alphandéry (IEP Paris), Alexandre Adler (Ecole Normale Sup), Nicolas Beytout ((IEP Paris, Les Échos), Michel David-Weill (Lazard,IEP Paris), sont membres permanents
les présidents de la Chase Manhattan Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola, Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, C.B.S. etc..
La trilatérale souvent présentée comme l’instigatrice de la mondialisation, dont les médias soulignent l’inévitable pertinence. Développant nombre d’analyses, démontrant l’inutilité des « États Nations », lui préférant la notion de territoires continentaux en relation avec un essor économique, au profit des multinationales et au détriment des institutions démocratiques et des peuples, dont la souveraineté serait abolie et à laquelle on lui substituerait la loi des entreprises.
Du 7/11/2010 au 9/112010 s’est tenue sous la férule de la trilatérale à Paris les « 32 ième Rencontre des régions européennes ». Cette événement titre évocateur, car Le terme de région correspond aux diverses entités juridiques nationales, rapportées communément au vocable de Nation. Une participation hexagonale relevée en la personne, de Jean-François Copé et d’Elizabeth Guigou, d’autant que l’amphytrion de service était le non moins distingué ministre en titre Eric Besson.
Jean-François Copé le 8 novembre 2010 , posa d’emblée la question de savoir si la France « peut se transformer ». Réponse : « les conditions pour que cela se produise n’ont jamais été aussi bonnes ».
Car, nous dit-on : « La France et les États-Unis ont atteint, ensemble, la fin de cycles idéologiques opposées : socialiste ici, conservateur là-bas. Cela coïncide aussi avec le terme de l’ensemble du cycle économique global"(NTDR).
Lors de la séance que présida Elizabeth Guigou, certains intervenants ont déclaré paisiblement que :
« Le référendum irlandais fut une humiliation et prouvait que cette consultation, induisait des mécanismes destructeurs « (NTDR)
ou encore :
"Le TCE et les catastrophes de Lisbonne dues au référendum, doivent être surmontés. Si nous ne sommes pas convaincus par de telles catastrophes, que faudrait il pour nous convaincre que les référendums, ne sont certainement pas la bonne façon de procéder"(NTDR).
Au cas où les peuples, n’auraient pas encore appréhendés que l’expression démocratique ne peut en aucun cas être la référence des oligarchies, dont l’obligation d’accumuler du profit par une expansion illimitée, n’est pas en capacité d’accepter de s’en remettre, au jugement du suffrage universel.
LES LEVIERS MÉDIATIQUES
Arnaud Lagardère, possède les éditions Hachette, Fayard, Grasset, Hatier, Hazan, Le Masque, Marabout, Pluriel, Stock, Le Livre de Poche, Larousse, Armand Colin, Dalloz et Dunod ; les magasins Relay, et Virgin ; les titres de presse Paris-Match, Elle magazine, le Journal du Dimanche ; les stations radio Europe1, Europe 2, RFM ; les chaînes de télévision Canal J, MCM, Mezzo, Tiji, Match TV, la chaîne météo, CanalSatellite, Planète, Planète Future, Planète Thalassa, Canal Jimmy, Season, CinéCinéma, AlloCinéInfo et EuroChannel ; entre autres
-Martin Bouygues possèdent les chaînes de télévision TF1, LCI, Odyssée, Eurosport, Histoire, UshuaïaTV, S Star, Cinétoile, Cinéstar, Télétoon, Infosport, Série Club, TF6, TV Breizh ; les sociétés de production de films : Téléma, Film Par Film, TF1 Film Production, les sociétés de distribution de films : TFM, la société d’édition vidéo : TF1 Vidéo, les magazines Tfou Mag, Star Academy, et pour la presse écrite quotidienne gratuite : Métro.
Bernard Arnault possède Les échos.
Vincent Bolloré, possède la chaîne de télévision Direct8, les journaux gratuits Direct Soir et Matin Plus, ainsi que Havas et sa filiale RSCG fondée par Jacques Séguéla.
Les instituts de sondages et d’Études
-CSA est possédé par Vincent Bolloré,
IFOP est dirigé par Laurence Parisot, par-ailleurs présidente du Medef,
IPSOS a pour administrateur notamment Nicolas Bazire, Assistant personnel de Nicolas Sarkozy .
Pierre Giacometti, directeur général d’Ipsos France, invité du Fouquet’s.
Opinionway, a été fondé par Hugues de Cazenave.
La SOFRES a pour actionnaire les fonds d’investissement américain Fidelity
LH2 (ex-Louis Harris) a été vendu par TNS à deux de ses dirigeants.
BVA ayant pour actionnaires les fonds d’investissement Rothschild.
Les cinq plus importants Réseaux Télévisuels sont :
TIME WARNER (Benef net 2010 : 224 milliards US$), Membre du Bilderberg
Pdg Jeffrey Lawrence Bewkes. Parmi les actionnaires on retrouve JPMorgan et AXA dont les présidents respectifs sont membres du Bilderberg et de la Trilatérale
Time Magazine, hebdomadaire d’information
People Magazine, magazine hebdomadaire
Sports Illustrated, magazine sportif
Fortune, Money Magazine, magazines économiques
Turner Broadcasting System Inc.
CNN, chaîne de télévision d’information en continu
DISNEY (CA 7586 Millions US$), Président John Pepper Membre du Bilderberg
-Walt Disney Studios et divertissement
-Walt Disney Parks and Resorts
Disney Media Networks et de la télévision
Disney Interactive Media
BERTELSMAN (15 milliards US$), Pdg actionnaire Liz Mohn et la fondation Bertelsmann Membre du Bilderberg
RTL Group, audiovisuel
Random House, édition
Gruner & Jahr, presseStern • Brigitte •GEO •Capital • Schöner Wohnen • Eltern • Financial Times Deutschland • Der Spiegel (25%)
Prisma Presse : VSD. VOICI. GALA
Arvato, société de services média (imprimerie, gravure CD et DVD, marketing direct, IT)
DirectGroup, vente de produits culturels
VIACOM (13 milliards US$) Membre du Bilderberg Sumner Redstone en est le propriétaire ses actionnaires Rockefeller-Rothschild-Morgan
parmi ses acquisitions
Paramount Pictures
Paramount Home Entertainment
Dreamworks-
United International Pictures
MTV Films
NEWS CORPORATION de Rupert Murdoch (11 milliards US$) Membre du Bilderberg
Rupert Murdoch est le principal détenteur de réseaux télévisuels aux USA dont fox news ainsi que le New York Post et le Wall Street Journal. En Australie, il détient 7 titres sur 12 de la presse imprimé et l’intégralité des quotidiens de la ville d’Adélaïde. 1/3 de la presse britannique dont le Times de Londres et le Sun ainsi que le site My Space, le réseau télévisuel B Sky B et le studio de production cinématographique 20th Century Fox.
Il ne s’agit pas d’un complot mais davantage la résultante logique des processus démocratiques et de leur permissivité inhérente. Les institutions démocratiques de par leur nature autorisent l’accomplissement d’organisation s telles que Bilderberg, la Trilatérale etc.. et leurs méfaits. Car la normalité est assortie de distinguos, mais la réalité des situations et des hommes différent en soumettant l’architecture de la société à la subornation. Lorsque l’on répertorie les entreprises de l’audiovisuel domestiques et transnationales et que l’on décrypte le phénomène d’agrégation des éléments formant les empires audiovisuels, il est aisé de prétendre qu’ils participent tous de la matrice financière et sont à son service exclusif. Les actionnaires principaux, Rothschild et les Rockeffeller sont largement présents dans ce domaine fort lucratif et par diverses modalités parviennent à établir leurs principes, pas seulement financiers mais surtout politiques. Les collusions manifestes entre le secteur financier, l’audiovisuel et le degré politique, se sont développées depuis les années 80 et se sont accentuées depuis lors, installant une ignominieuse imbrication.
L’ensemble de ces organisations disposent de moyens considérables de par la qualité de leurs membres, appartenant tous aux différentes institutions démocratiques, dont ils usent de manière à entériner leur disparition et mettre définitivement sous tutelle les peuples, dont ils contestent le droit à l’expression et à la désignation de leurs dirigeants. Elles expriment un caractère neo fasciste avéré.
Cette uniformité dans la désignation des politiques mises en œuvre par les divers gouvernants, dont l’appartenance directs ou indirects à ces organisations démontrent une similitude d’actions avec comme impératif le démantèlement des processus initiés après la libération du continent européen en 1945. On pourrait inférer en pareille occurrence, en affirmant que les vaincus d’hier sont actuellement les vainqueurs du moment. Car dès 1945, l’ordre social et politique est assumé par les communistes et les gaullistes en France , les politiques initiées par le CNR, seront aussi l’apanage de nombreuses autres nations du continent européen, en particulier dans les domaines financiers et sociaux. Toutefois l’ordre nouveau prôné par l’Allemagne conserva de nombreux partisans après 1945, lesquels s’ingénieront à ériger une mécanique se dispensant d’un appareil militaire expansionniste, au profit d’une agrégation des pôles industriels et financiers et médiatiques transnationaux. La prééminence démocratique et la présence de l’union Soviétique ainsi que la coexistence pacifique développée avec les USA, ont permis de différer l’insoupçonnable ascension de ces éléments, lesquels par l’utilisation de discours œcuméniques et consensuels sont parvenus à imposer leur philosophie, à l’ensemble de la planète.
A l’exception de l’hexagone, peut être parce qu’il est l’original et que ses structures, ainsi que sa tradition, est encore en aptitude d’exhiber les ultimes vestiges progressistes et en devenant l’opposition et la force de progrès nécessaires, à l’invention d’une organisation inédite des sociétés humaines.
L’examen attentif de la formation et des éléments humains, façonnant cette myriade de sociétés opaques, augurent d’une planification dont l’exécution trouve sa réalité dans les politiques et la désorganisation financière actuelles, agissant comme une terrible coercition sur les peuples. Si la désagrégation des institutions démocratiques est à l’ordre du jour, le moyen d’y parvenir est consacré par la génération de cette pseudo dislocation financière, délibérément attisée par ce fameux marché dont les protagonistes sont interpénétrables et hantent à la fois les coteries politiques vertueuses et les cénacles financiers. Pas moins d’une quinzaine d’individus appartenant à la trilatérale et au Bilderberger assistent Barack Obama, les entourages de Nicolas Sarkozy, Angela Merkel et des autres gouvernants européens recèlent tous, des Bilderberger et/ou des trilatéralistes. Les entreprises européennes dont les dimensions jouxtent celles des multinationales, sont organisées en fonction de leur activité industrielle ERT ou financière INTER-ALPHA dont les dirigeants fréquentent le Bilderberg ou la trilatérale, instances politiques concernant les affaires domestiques ou internationales. Il ne s’agit pas d’une forgerie, ils sont devenus le pouvoir légitime. Cette démocratie étriquée, que les européens et les américains n’ont cessé de mettre en exergue, a permis l’expansion et l’infiltration des institutions, par la sphère strictement industrialo-financière, laquelle par la prévarication s’est adjointe les services des responsables politiques devenus de simples commis, dont les programmes ont été décidées par des coalitions illégitimes, en regard des principes démocratiques tant loués par nos dirigeants.
Ne nous leurrons pas, si nous nous liguons pas dans une opposition déterminée, la mécanique infernale déclenchée en 2008, terrassera les unes après les autres les nations européennes .
Point de salut à attendre des financiers, dont la philosophie se résume à cette formule de Mayer Amshel Rothschild (1743-1812) "Donnez moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois." La prédominance des entreprises créatrices d’abondance, est une coquecigrue que nos politiques s’évertuent à dispenser à leur opinion publique, alors qu’elles ne servent qu’à siphonner les finances publiques, autorisant les établissements financiers à entretenir un agiotage profitable. Ces mêmes établissements financiers sont parvenus à se libérer du binôme labeur-profit et sont habilités à générer de la valeur financière à partir d’une valeur financière artificielle (LBO, Capital-investissement) en réclamant que les nations, s’acquittent de cette accumulation financière fictive, avec des ressources financières réelles, obtenues par l’ouvrage des individus, organisant le délitement des nations et l’appropriation des biens, des hommes et de leur territoire, par les firmes.
S’évertuer à prétendre que le salut, proviendra d’alternatives initiées par un système gangréné, de par les renoncements des responsables politiques, des gouvernants et l’acceptation du péculat, est au mieux un édifiant mensonge au pire une prodition. Ce système ne dispose d’aucune possibilité d’être amendée, car les blocs initiaux distincts se sont mués en un ensemble unique, s’opposant au peuple, demeuré extérieur à cet agencement jusqu’à présent, en étant captif d’une soumission planifiée.
En conséquence, la révolution est une impérieuse nécessité et son inéluctabilité une certitude.
photo : http://www.flickr.com/photos/unruly24/4296283064/
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