A tout les avides morbides de pouvoir, les fans de l'avoir
Qui se mettent en quatre pour des miettes de puissance et de gloire
Ceux que la supériorité, la domination obsède
Je dit : vous êtes riches d'être sans soumettre, le reste est illusoire
A tout ceux qui ont le trip tic algébrique des statistiques
Ouvert en trois aux sondages de surface et aux diagnostiques
Ceux que la tique pique et rend accrocs fiévreux aux inventaires
Je dit : pas de panique, N'oubliez pas que vous êtes uniques
A tout les toqués du tic-tac, les maniaques flippé du timing
Pliés en deux au moindre retard, les professionnels du planning
Ceux qui du temps font argent calculant le moindre délais
Je dit : prenez le temps, gagez vos montres pour quelques shillings
A tout ceux qui se prennent trop au sérieux, les coincés de la raie
Ne faisant qu'un avec les rigides du bulbes, les durs à déridé
Ceux perdu dans le noir des raisonnements graves et dangereux
Je dit : pouffez de rire à vous tordre le ventre, explosez
A tout ceux à qui les rides font peurs, les mordu de la crème
Les zélés du zéro défaut, fous du bistouri idem
Ceux déprimés, insensés que le cheveux blanc tétanise,
Je dit : relisez le portrait de Dorian Gray pour son thème.
Ils condamnent fermement
Elvis Trélaid
Ouvert en trois aux sondages de surface et aux diagnostiques
Ceux que la tique pique et rend accrocs fiévreux aux inventaires
Je dit : pas de panique, N'oubliez pas que vous êtes uniques
A tout les toqués du tic-tac, les maniaques flippé du timing
Pliés en deux au moindre retard, les professionnels du planning
Ceux qui du temps font argent calculant le moindre délais
Je dit : prenez le temps, gagez vos montres pour quelques shillings
A tout ceux qui se prennent trop au sérieux, les coincés de la raie
Ne faisant qu'un avec les rigides du bulbes, les durs à déridé
Ceux perdu dans le noir des raisonnements graves et dangereux
Je dit : pouffez de rire à vous tordre le ventre, explosez
A tout ceux à qui les rides font peurs, les mordu de la crème
Les zélés du zéro défaut, fous du bistouri idem
Ceux déprimés, insensés que le cheveux blanc tétanise,
Je dit : relisez le portrait de Dorian Gray pour son thème.
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Ils condamnent fermement
Puis partent se coucher
La conscience sous l'oreiller
Ces pantins de politique.
Ils condamnent fermement s'il te plait
Pas a la légère ... non, un peu de sérieux !
Mais que condamnent-ils
Et qui condamnent-ils?
Ils s'en moquent !
Quelle classe de condamner fermement !
Alors on condamne à tour de bras
À tour de rôle, état après état
Et les journalistes aiment ça
Et le spectateur aussi,
Et tout le monde se sent mieux
D'avoir condamné fermement
Quelques atrocités ici et là
Et après ... Quoi après ?
Rien. Pas un geste. Pas un acte,
Surtout pas !
Que condamnerions-nous fermement
Si on s'amusait à régler toutes ces horreurs ...
Qui masquent les nôtres ?
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