Faire du samedi 3 décembre le point d’orgue de la grande contestation des privés d’emploi et des précaires de tout le pays, ça relève de notre engagement à tous.
Cette manifestation revêt un caractère particulier : elle arrive en fin de la campagne «la route des 10 Droits» où nous aurons parcouru de nombreuses villes et de départements avec nos «Budgets de vie».
Cette campagne que nous menons a pour but de faire connaître la CGT et la nécessité du combat social et de l’engagement de tous. De discuter aussi, et d’organiser la riposte face à tout ce qui nous tombe, au quotidien, sur le coin du nez : augmentation du chômage, hausse du coût de la vie, droits sociaux en berne, des entreprises et leurs emplois qui disparaissent, des logements introuvables et des loyers inabordables.
Et nous, toujours sur le carreau, à se faire balader par Pôle Emploi, d’un boulot précaire à l’autre – quand il y en a... Sinon, vogue la galère et l’hiver qui arrive, la pire des quatre saisons pour les mal-logés et les foyers modestes. Les coupures d’énergie, les dépenses supplémentaires qui arrivent avec le froid. Ensuite viennent les fêtes de fin d'année où, pour nous, on aura la part du «petit caca-Noël».
Alors là, on dit NON.
Cette fois encore il nous la faut, la «prime de Noël», la vraie, celle que l’on réclame depuis des années : 500 euros pour tous les privés d’emploi, les minimas sociaux et les travailleurs pauvres. Car les riches, eux, ils peuvent fêter, avec tous les cadeaux que «seigneur Nicolas» leur a faits. De milliards ils se sont goinfrés, et sans en faire tomber une miette ! Pendant que les nantis vont saucer les plats de mets succulents, boire leur champagne et partager entre riches tous les plaisirs avec le fric qu’ils nous ont volé, pendant ce temps des vieux, des jeunes, des femmes, des hommes, des gosses ont faim... La crise économique pour nous, et pour eux… la crise de foie !
Il y a une grande colère qui bout et le samedi 3 décembre, chômeurs, salariés, nous battrons le pavé parisien. Partout sur le territoire, préparons ce moment revendicatif, car nous sommes une force sur qui il faut compter.
Dans cette période préélectorale, ceux qui gouvernent auront peut-être une oreille plus fine. Et quant à ceux qui pourraient arriver, ils doivent nous entendre à leur tour.
Moi, je vais y aller à cette manif et leur dire ce que je pense. Alors camarade, on y va nombreux, tu viens aussi et avec du monde !
Le Comité national CGT des Privés d’emploi et précaires
Le tract d'appel national
Cette manifestation revêt un caractère particulier : elle arrive en fin de la campagne «la route des 10 Droits» où nous aurons parcouru de nombreuses villes et de départements avec nos «Budgets de vie».
Cette campagne que nous menons a pour but de faire connaître la CGT et la nécessité du combat social et de l’engagement de tous. De discuter aussi, et d’organiser la riposte face à tout ce qui nous tombe, au quotidien, sur le coin du nez : augmentation du chômage, hausse du coût de la vie, droits sociaux en berne, des entreprises et leurs emplois qui disparaissent, des logements introuvables et des loyers inabordables.
Et nous, toujours sur le carreau, à se faire balader par Pôle Emploi, d’un boulot précaire à l’autre – quand il y en a... Sinon, vogue la galère et l’hiver qui arrive, la pire des quatre saisons pour les mal-logés et les foyers modestes. Les coupures d’énergie, les dépenses supplémentaires qui arrivent avec le froid. Ensuite viennent les fêtes de fin d'année où, pour nous, on aura la part du «petit caca-Noël».
Alors là, on dit NON.
Cette fois encore il nous la faut, la «prime de Noël», la vraie, celle que l’on réclame depuis des années : 500 euros pour tous les privés d’emploi, les minimas sociaux et les travailleurs pauvres. Car les riches, eux, ils peuvent fêter, avec tous les cadeaux que «seigneur Nicolas» leur a faits. De milliards ils se sont goinfrés, et sans en faire tomber une miette ! Pendant que les nantis vont saucer les plats de mets succulents, boire leur champagne et partager entre riches tous les plaisirs avec le fric qu’ils nous ont volé, pendant ce temps des vieux, des jeunes, des femmes, des hommes, des gosses ont faim... La crise économique pour nous, et pour eux… la crise de foie !
Il y a une grande colère qui bout et le samedi 3 décembre, chômeurs, salariés, nous battrons le pavé parisien. Partout sur le territoire, préparons ce moment revendicatif, car nous sommes une force sur qui il faut compter.
Dans cette période préélectorale, ceux qui gouvernent auront peut-être une oreille plus fine. Et quant à ceux qui pourraient arriver, ils doivent nous entendre à leur tour.
Moi, je vais y aller à cette manif et leur dire ce que je pense. Alors camarade, on y va nombreux, tu viens aussi et avec du monde !
Le Comité national CGT des Privés d’emploi et précaires
Le tract d'appel national
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