Un mois après le succès libyen, Sarko frétille d'impatience devant son nouveau challenge, la Syrie. Comme pour Kadhafi qu'il a tant aimé, il multiplie les efforts pour convaincre les partenaires de la France pour que l'occident, dans sa lutte pour la « démocratie », ben voyons !, fasse de même avec un autre de ses anciens amants, Bachar al-Assad. Celui-là même que Nicolas Sarko fut premier à rétablir « dans le concert des nations », alors que Jacques Chirac avait rompu avec le régime suite à l'assassinat du Premier ministre libanais Rafic Hariri et de ses relations plus que douteuses avec le Hamas et le Hezbollah... Que ne ferait-il pas notre National Président en échange d'un petit contrat !...
La Turquie qui a coupé les ponts avec le régime syrien en signe de protestation contre la barbarie de la répression contre les manifestants antigouvernementaux, s'est associée à la Ligue arabe, qui vient de donner à la Syrie un nouveau délai de trois jours pour mettre fin à la répression sanglante, faute de quoi des sanctions économiques seront adoptées contre le régime de Damas...
Trop peu pour l'agité du bocal. Une der des ders en Syrie, c'est du tout bon pour la com !
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